Le givre des mémoires
Stockholm, 2989. La cité avait perdu ses contours d’autrefois, ensevelie marqué par des couches de verre net et de givre régulé. L’air y était purifié, contrôlé, presque sans odeur. les sentiments personnelles n’étaient plus exprimées normalement, mais conservées en créant de la capsules. Chaque individu, dès l’adolescence, ét